vendredi 8 avril 2011

Pourquoi moi? Parce que:

Le sentiment de culpabilité ou culpabilité est une émotion relative à soi et/ou au groupe social (dont la famille) qui repose sur le sentiment — justifié ou non — qu’on porte une responsabilité personnelle dans un événement fâcheux. Il se manifeste souvent par de l’angoisse et/ou une dépression et est fréquent lors d’un deuil comme l’a souligné Sigmund Freud

Dans l'analyse d'une pièce de l'écrivain norvégien Henrik Ibsen, intitulée Rosmersholm, Freud veut montrer que les actions de l'héroïne, Rebecca, sont induites par une culpabilité liée à trois secrets. Le troisième de ces secrets est l'amour qu'elle porte à un homme dont elle ne sait pas qu'il est son père. Cette pièce que Freud appréciait beaucoup lui donnait une bonne illustration de son affirmation que la culpabilité inconsciente est toujours liée, de près ou de loin, à la situation œdipienne.
Friedrich Nietzsche décrivit un profil psychologique qu'il appela criminels par sentiment de culpabilité. Il signifia alors que certains peuvent, se sentant coupables mais sans savoir pourquoi, commettre un crime dans le seul but de donner une raison à cette culpabilité. La culpabilité n'est pas la conséquence du crime mais, paradoxalement, sa cause même : il s'agit pour le coupable de pouvoir se représenter sa faute.

Freud reprend ce modèle lorsqu'il discute la culpabilité inconsciente, indissociable du surmoi, sévère juge de la personne. Freud précise que le névrosé a bel et bien commis une faute, du moins dans son fantasme. Peut être n'y a-t-il pas eu d'acte mais l'intention à la source des reproches est bien réelle, et la culpabilité n'est guère que retournement sur la personne propre de l'agressivité.
C'est également dans cette culpabilité inconsciente que Freud verrait l'origine de certains échecs de cures psychanalytiques, les patients n'arrivant pas à surmonter un « masochisme moral » qui les poussent à expier indéfiniment une faute inconsciente. En effet, la culpabilité viendrait provoquer le passage à l'acte, et pas l'inverse.
Mais qu'en est-il vraiment de cette culpabilité inconsciente ? Le modèle de l'affect semble en effet impliquer le système préconscient/conscient décrit dans la première topique, puisque le système inconscient est, selon cette approche théorique, siège de quantités pulsionnelles et non d'affects qualitatifs. Freud décide de ne pas trancher ce problème d'un affect inconscient et laisse la question ouverte. Il choisit donc une perspective descriptive, insistant sur l'évidence d'une culpabilité inconnue du Moi et pourtant génératrice de nombreuses démarches. Cette culpabilité inconsciente peut prendre des formes contradictoires : ambition dévorante par volonté de faire mieux que le père ou au contraire échecs répétés dans les entreprises pour, au contraire, épargner le père. De fait, la pratique clinique montre que toute réussite peut être rongée par un sentiment de transgression qui serait alors induite par cette culpabilité de faire mieux que son géniteur.
Dans les années 1915-1917, Freud, dans son ouvrage « Deuil et mélancolie » montre que la psychose mélancolique s'articule autour d'un clivage inconscient chez le même sujet, à l'occasion d'un deuil. Celui-ci tient à la fois la position d'accusateur et celui de l'accusé.
La culpabilité pousse souvent les personnes en général à accuser quelqu’un d’autre pour se déculpabiliser.
En mettant quelqu’un d’autre dans une même instabilité émotionnelle, il se sent donc moins coupable et moins seul dans sa situation.
Grace a une manipulation très agile on peut constater par exemple quelqu’un pourrait même être porté à aggraver la situation d’une personne afin de se sortir de sa culpabilité
Le même principe qu’un enfant#1 qui se fait attraper à faire un mauvais coup et qui dit a ses parents « Oui mais lui(enfant#2) , dans la ruelle, il a fait pire que ça » . l’enfant s’est donc déculpabiliser en culpabilisant quelqu’un.
En conclusion, l’enfant#1 qui a reporté l’enfant #2 Se sent beaucoup moins coupable et n’assume qu’une partie des faits. Tandis que l’enfant #2 doit assumer ses tord et un parti des tord de l’enfant#1.

La culpabilité n’est pas un sentiment positif et la plus part des gens essaient de s’en sauver plutôt que d’assumer. La seule façon d’assumer qu’une partie des tords, c’est de culpabiliser quelqu’un d’autre et lui refiler une petite partie de ses propre tords.
Le pire dans tout ça, c’est qu’il y a une erreur de jugement par rapport a ces personnes qui ont clairement quelque chose à ce reprocher.

mercredi 6 avril 2011

Mettons les choses au point

Bon... Il y a quelque chose de vraiment sidérant en ce moment qui s'appelle le phénomène de "si je fais ça, les gens vont penser ça de moi".
Pourquoi?
J'ai mis quelques théories au point
(je mets aussi les solutions possibles pour remédier aux problèmes publiés sur mon blog)
Je pense que si les gens portent tant attention à ce que les autres pense d'eux c'est a cause de leurs estime.
C'était claire dès le début et tout le monde le savait déjà!
Maintenant. Pourquoi les gens n'ont pas d'estime de sois????
***Moment de réfléxion****
EH OUI!!! Bravo!! c'est a cause de tout ce qui nous entour et qui nous abruti!!!!!
Donc, tu te promène sur la rue "tou lou lou tou tou" Sifflant joyeux...
WOW Une annonce de jeans!!!! Wow quel belles jeans!!!! Mais la fille (ou le gars) a l'interieur!
...Il me semble... elle (il) n'a pas ce petit bourlet qui sort de ses taille basse... Elle (il) n'a aucun bouton... elle (il) est grand...
Bon... La ça embarque tranquillement pas vite!!!
ou lala!! Le gars là-bas m'a regardé!
Mais... j'ai des bourlets... des boutons et je mesure 5"...
Et la c'Est en se comparant au gens sur les afiches ou en general qu'on devient cave de même!!

Et le pire la dedant, c'est que rendu a uncertain stade,
ca devient un cercle vicieux.
Parceque, plus tu te compare, plus ton estime baisse, plus t'as besoin des autres pour te remonter...